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Une bouchée d’histoire

En 1981, dans un petit coin de Genève, un homme passionné par la pâtisserie et le goût juste a imaginé une douceur qui allait traverser les générations. Il n’avait pas l’intention de révolutionner la gourmandise, simplement de créer quelque chose de sincère, de simple, et de bon.

Ce gâteau, c’est le Pignon.

Un mini cake moelleux, doré au four, délicatement parsemé de pignons de pin, ces petits joyaux croquants venus du Sud. Pas de glaçage inutile, pas de superflu. Juste un équilibre parfait entre moelleux, douceur et caractère. Le genre de gourmandise qui ne se vante pas, mais qu’on n’oublie jamais après l’avoir goûtée.

Une recette restée intacte

Depuis plus de 40 ans, la recette du Pignon n’a pas bougé. Transmise, respectée, défendue. Il n’y a pas de secret industriel, pas de raccourci moderne. Juste le respect d’un savoir-faire artisanal et d’un héritage discret.

À la Cafétéria Auer, c’est cette version originale, celle de 1981, que vous retrouvez chaque jour. C’est pourquoi le Pignon n’est pas un simple gâteau. C’est un repère, une bouchée d’enfance, un clin d’œil à ceux qui aiment ce qui est vrai.

L’inventeur

Ce gâteau n’a pas été copié dans un livre. Il n’est pas né d’un laboratoire ni d’un brainstorming marketing.
Il a été inventé en 1981 par Éric Muller, artisan pâtissier installé rue Caroline, au cœur de Genève.

Éric voulait créer une douceur à son image : simple, vraie, généreuse, mais surtout inoubliable.
Il voulait un gâteau que l’on puisse savourer en une bouchée, sans nappe blanche ni cérémonie, mais dont le goût, lui, resterait.
C’est ainsi qu’est né le Pignon.

Pendant plus de 25 ans, de 1981 à 2008, la rue Caroline a porté l’empreinte de son savoir-faire. Aujourd’hui encore, chaque Pignon vendu perpétue son geste, sa recette, sa philosophie.

Chaque jour, des dizaines de clients viennent pour un café… et repartent avec leur Pignon. Certains ne viennent que pour lui. Il n’a jamais eu besoin de publicité.
Le Pignon, c’est comme un mot doux soufflé à l’oreille. Ceux qui le connaissent n’ont pas envie d’en parler trop fort, de peur qu’il disparaisse.

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